Stock
Les stocks représentent les biens acquiss, transformés ou à vendre dans l'entreprise à un moment donné. Le stock représente de manière habituelle, la totalité des biens qui interviennent dans le cycle d'exploitation de l'entreprise soit pour être vendu en l'état,...
Définitions :
- Le stock, qui relève généralement de la catégorie de coûts la plus élevée, est constitué des matières premières, des pièces acquises, du travail en cours et des produits finis qui ne sont pas encore vendus au client. (source : tbmcg)
- stocks - Ensemble des biens ou des services, propriété de l'entreprise, qui interviennent dans le cycle d'exploitation pour être : soit vendus en l'état ou au terme d'un processus de production à venir ou en cours ; soit consommés généralement au premier usage. (source : finances.gov)
- stocks - Quelques Lots toujours Disponibles (source : cn2i)
Les stocks représentent les biens acquiss, transformés ou à vendre dans l'entreprise à un moment donné.
Le stock représente de manière habituelle, la totalité des biens qui interviennent dans le cycle d'exploitation de l'entreprise soit pour être vendu en l'état, ou au terme d'un processus de production à venir, ou en cours, soit pour être consommé au premier usage.
Le stockage, ou entreposage, est l'action d'entreposer, c'est-à-dire de placer à un lieu identifié des objets ou des matières dont on veut pouvoir disposer rapidement en cas de besoin.


Typologie et enjeux des stocks
Enjeux des stocks
Le stock sert à gérer les articles disponibles dans l'entreprise en vue de satisfaire les besoins à venir avec outils logistiques et d'un système d'information performant pour l'organisation.
Ces besoins seront à satisfaire au bon moment, dans les bonnes quantités et d'une manière donnant la possibilité de la bonne utilisation du stock. Si on n'est pas capable de satisfaire un besoin à l'aide du stock correspondant, on parle de rupture de stock.
Tout l'art de cette gestion est d'avoir suffisamment de stock pour répondre correctement aux besoins et pas trop pour ne pas supporter les différents coûts du stock (coût d'acquisition, coût de stockage, coût de dévalorisation, etc. ).
Il est envisageable de distinguer trois finalités du stock :
- stock de transaction, pour optimiser les coûts de transaction et les coûts de stockage ;
- stock de précaution, pour éviter la rupture de stocks ;
- stock de spéculation, pour profiter des mouvements de prix.
Typologie des stocks
Les principaux stocks sont :
- le stock de marchandises. Les stocks des commerçants (revente à profit d'articles sans valeur ajoutée de transformation par l'entreprise) ;
- le stock de matières premières qui représente les articles acquiss auprès de fournisseurs en vue d'une transformation ultérieure ;
- le stock des produits en cours de fabrication (semi-finis) qui représente les articles qui ne sont pas vendables en l'état car devant toujours subir des transformations ;
- le stock des produits terminés (ou «produits finis») qui représente les articles que l'entreprise peut vendre après les avoir fabriquées ;
- le stock d'emballages vides (palettes, caisses... ).
Critique typologique :
Il s'agit cependant là d'une typologie statique (par nature) de la définition des stocks et qui ne se recoupe pas forcément en réalité comme une copie conforme avec les modes de gestion utilisés par les entreprises. Il convient en effet de se référer en la matière à une approche téléologique du stock, c'est-à-dire de différencier les stocks suivant l'objectif qu'ils ont en matière de gestion ou de stratégie. Un stock peut en effet avoir pour but de générer un profit dans le cadre du processus de production et de ventes d'une part ou répondre à des engagements passés pris au moment de la vente, ce qui est le cas des pièces détachés nécessaires à la garantie. Cette notion de garantie intervient aussi pour le maintien en état des capacités de production[1].
Cette typologie permet en l'appliquant à la gestion de dépasser les limites actuelles de suivi de stocks qui ne permettent pas de prendre toujours des décisions associant un équilibre entre risques et rentabilité. Le même auteur dans des travaux publiés par les conférences scientifiques internationales IEEE montre que l'impossibilité actuelle de définir des politiques de prix structurées et objectives en cas d'invendus ou de sur-stock est associée à une définition non téléologique du stock, qu'on doit traiter comme une option.
Méthode d'évaluation et de gestion des stocks
Outre une gestion des stocks qui vise l'optimisation des flux et des coûts relatifs aux stocks, une évaluation des stocks est indispensable au service comptable pour servir la construction du bilan de l'entreprise.
Méthodes d'évaluation comptables des stocks
Évaluation selon les normes internationales (IAS/IFRS)
Norme concernée
La norme IAS 2 établit l'évaluation et la comptabilisation des stocks.
Évaluation des entrées en stock
- Le coût d'entrée d'un stock à l'actif (évalué pour faire le bilan) est constitué des :
- coûts d'acquisition que sont les prix d'achat des matières premières, fournitures ou marchandises auquel s'ajoutent les éventuels frais de transport et de manutention, les droits de douane et autres taxes non récupérables ;
- coûts de transformation que sont les coûts ajoutés au coût d'acquisition pour parvenir au coût de production déterminé par la comptabilité analytique ;
- coûts encourus pour amener les stocks à l'endroit et dans l'état où ils se trouvent.
- Les coûts obligatoirement exclus du coût des stocks sont :
- les frais de commercialisation tels que la publicité et le coût du personnel commercial ;
- les frais qui n'amènent pas les stocks à l'endroit et dans l'état où ils se trouvent ;
- les consommations anormales (matières premières, maintenance… exceptionnelles) ;
- les coûts de stockage non nécessaires au processus de production.
Pour obtenir le coût réel de stock (à comptabiliser) 3 grands types de méthodes sont autorisées. (selon les normes IAS/IFRS)
- Les (3 ou 4) méthodes des coûts réels (en retenant les coûts de production ou d'acquisition réellement engagés).
-
- Coût unitaire moyen pondéré périodique (CUMP) : Le coût unitaire de sortie d'articles du stock est égal à la somme (de la valeur d'origine + celles d'entrées en stock) divisé par la somme (de quantité d'origine et celles d'entrées en stock). Si ce sont des stocks de produits finis, le coût unitaire d'entrée sera le coût de production (voir pour sa détermination la comptabilité analytique).
- Premier entré, premier sorti (FIFO, PEPS en français) : Le coût unitaire de sortie d'un type d'article du stock est égal à la valeur de l'article qui est entré en premier chronologiquement dans le stock. Un article entre à 10€ puis 20€, il sortira en premier à 10€.
- Dernier entré, premier sorti (LIFO) : Le coût unitaire de sortie d'un type d'article du stock est égal à la valeur de l'article qui est entré en dernier chronologiquement dans le stock. Un article entre à 10€ puis 20€, il sortira en premier à 20€.
- Premier échu premier sorti (First expired first out (FEFO) ) : ce mode de gestion toléré est spécifiquement adapté aux produits avec une DLC (Date Limite de Consommation) ou une DLU (Date Limite d'Utilisation). Prise en compte de la date limite entrée dans le dispositif pour effectuer les sorties.
- Coût unitaire moyen pondéré périodique (CUMP) : Le coût unitaire de sortie d'articles du stock est égal à la somme (de la valeur d'origine + celles d'entrées en stock) divisé par la somme (de quantité d'origine et celles d'entrées en stock). Si ce sont des stocks de produits finis, le coût unitaire d'entrée sera le coût de production (voir pour sa détermination la comptabilité analytique).
- La méthode des coûts standards qui calcule la valeur à partir des niveaux normaux d'utilisation de matières premières, de main-d'œuvre, d'efficience et de capacité.
- La méthode du prix de détail (ou retail method)
Pour chaque groupe de produits homogènes, on détermine un pourcentage moyen de marge brute. La valeur du stock, par catégorie de produits homogènes, est obtenue en déduisant des ventes la marge brute ainsi calculée.
Évaluation selon le plan comptable français
L'obligation d'inventaire
Un inventaire annuel doit être effectué régulièrement une fois l'ensemble des 12 mois (en France : Code du commerce article 123.12 du code de commerce) pour toute entreprise ayant la qualité de commerçant. Il est contrôlé par un commissaire aux comptes (et ceci du fait du principe comptable de spécialisation des exercices). D'une manière plus générale, il est utile de réaliser régulièrement un inventaire des stocks pour s'assurer une certaine homogénéité de la valeur des stocks entre les exercices comptables. L'objectif est aussi de confronter les comptes à l'observation directe. Cet inventaire et l'inventaire physique intermittent est le plus souvent préconisé pour la comptabilité générale.
L'inventaire comptable permanent est une organisation des comptes de stocks qui, par l'enregistrement continu des mouvements, sert à connaître de façon constante, en cours d'exercice, les existants chiffrés en quantités et en valeur. Cet inventaire est le plus souvent préconisé pour la comptabilité analytique mais peut aussi être réalisé en comptabilité générale par l'utilisation d'un compte de stock de régulation (exemple : 38).
Évaluation des entrées en stock
Le montant le plus faible entre le coût ou la valeur nette de réalisation (toujours la valeur nette de réalisation pour les produits agricole, de forêt et minéraux).
Coût = prix d'acquisition + frais accessoires + frais nécessaires pour que le stock arrive en état ou il se trouve (dont coûts d'emprunt : Ce coût se calcul de la même manière que les acquisitions d'immobilisation).
Ne pas inclure les montants anormaux, les coûts de stockage hors exploitation, les frais généraux administratifs non utiles aux stocks et les frais de distribution et de change.
A noter qu'il est envisageable d'évaluer les stocks au prix de vente moins la marge normale pour les entreprises à faible chiffre d'affaires ou de contraintes excessives (France : 763000€ vente de biens, 230000€ vente de services, article 123.27).
Pour les biens interchangeables et non affectés à des projets spécifiques, seules les méthodes CUMP (coût unitaire moyen pondéré) et FIFO (PEPS) (premier entré, premier sorti) sont reconnues comme "légales" par le fisc français (voir ci-dessus pour le calcul).
Technique de comptabilisation
Les charges (stocks acquiss) et produits (stocks vendus) comptabilisés durant l'année doivent être extournés à la fin de l'exercice. Cette écriture peut être réalisée sous la forme d'une variation des stocks constatée à l'inventaire. Une façon simple de comptabiliser est d'extourner le montant du stock d'origine dans une première écriture en contrepartie d'un compte de gestion d'achat (stocks acquiss) ou de vente (stocks vendus), puis de comptabiliser une écriture inverse pour le montant du stock final. Ces écritures peuvent être effectuées en une fois en constatant la variation de stock.
Après avoir constaté les factures nécessaires, une écriture de fin d'exercice pour les stocks "acquiss" doit être enregistrée :
numéro de compte | Intitulé de compte | Montant au débit | Montant au crédit |
---|---|---|---|
6.. | Achat.. | (stock d'origine) | |
3.. | Stock.. | (Stock d'origine) | |
3.. | stock.. | (stock final) | |
6.. | Achat.. | (stock final) |
Ecriture de fin d'exercice pour les stocks "vendus" :
numéro de compte | Intitulé de compte | Montant au débit | Montant au crédit |
---|---|---|---|
7.. | vente.. | (stock d'origine) | |
3.. | Stock.. | (Stock d'origine) | |
3.. | stock.. | (stock final) | |
7.. | vente.. | (stock final) |
Nous constaterons un appauvrissement si les stocks acquiss ont augmenté.
Nous constaterons un enrichissement si les stocks à vendre ont augmenté.
Nous constaterons une diminution de l'appauvrissement (plus de compte de charge à droite) si les stocks acquiss ont diminué.
Nous constaterons un enrichissement (plus de compte de produit à gauche) si les stocks à vendre ont diminué.
Méthodes d'évaluation à des fins d'analyse financière
La valeur du stock influence la trésorerie et surtout le Besoin en fonds de roulement.
La valeur du stock = Coût de possession + coût de gestion des stocks
- Le coût de possession = coût de stockage unitaire * Quantité moyenne stockée.
-
- Le coût de stockage unitaire correspond à la somme des :
-
- Coûts fixes : (Prix d'achat unitaire + frais d'acheminement unitaire) *% du coût moyen pondéré du capital.
- et Coût variable unitaire : d'entreposage
- Coûts fixes : (Prix d'achat unitaire + frais d'acheminement unitaire) *% du coût moyen pondéré du capital.
-
- Le coût de stockage unitaire correspond à la somme des :
-
- La quantité moyenne stockée correspond soit
-
- Chaque année au (stock d'origine + stock final) /2 soit
- à la quantité à stocker moyenne : Demande (montant des livraisons) /2
- Chaque année au (stock d'origine + stock final) /2 soit
-
- La quantité moyenne stockée correspond soit
- Le coût de gestion = coût de lancement unitaire * nombre de livraisons d'articles
-
- Le coût de lancement (de transaction) est par exemple la passation des commandes, le transport, le traitement administratif…
- Le coût de lancement (de transaction) est par exemple la passation des commandes, le transport, le traitement administratif…
La formule de Wilson peut être retrouvée à partir de cette valorisation.
Les méthodes de gestion des stocks
Les deux paramètres fondamentaux des modèles de gestion des stocks sont la date et la quantité commandée.
On peut par conséquent commander à date fixe ou variable, ainsi qu'à quantité fixe ou variable.
- Méthode de réapprovisionnement ou méthode calendaire, on commande à date fixe une quantité fixe voisine de la quantité économique de commande (QEC ou Formule de Wilson).
- Méthode de gestion à Point de commande. C'est le modèle de commande à date variable ainsi qu'à quantité fixe. C'est l'atteinte d'un certain niveau de stock, le point de commande, qui déclenche la commande de réapprovisionnement.
- Méthode de retotalement, à date fixe la quantité variable servant à reconstituer le niveau de stock défini est commandée.
- Méthode de réapprovisionnement à la commande, à date variable une quantité variable est commandée.
La valorisation logistique du stock permet sa gestion
- Outils mathématiques permettant d'éviter la rupture de stock.
Le calcul du stock d'alerte :
Ce seuil de réapprovisionnement correspond au niveau du stock qui déclenche la commande. Il est égal au stock de sécurité plus le stock consommé au cours du délai de livraison
Le calcul du stock de sécurité :
Ce seuil est assumé pour diminuer le risque de rupture.
Le taux de rotation de stock :
Nombre de renouvellements/durée
La couverture de stock :
La durée que le stock sert à couvrir en considérant la demande moyenne
Le taux de rupture :
Demandes non satisfaites/demandes totales
Le taux de service :
Probabilité de (1-demandes non satisfaites) /demande totale
- Outils techniques permettant d'éviter la rupture de stock.
- le juste-à-temps ou flux tendu
- le Kanban
- la technologie de radio-identification. Une analyse académique[2] effectuée chez Wal-Mart a démontré que la radio-identification peut diminuer les ruptures d'inventaire de 30% pour les produits ayant un taux de rotation entre 0.1 et 15 unités/jour.
La rotation des stocks vue par le service commercial
Pour un article reconnu, le ratio des ventes (pour une période donnée) sur le stock moyen (durant cette période) sert à déceler les articles qui se vendent peu (vente
Formules :
- Ratio des ventes :
-
- Ratio des ventes d'un bien = somme des ventes sur une période donnée / stock cumulé sur une période donnée
- Ratios de rotation des stocks
-
- Stocks de marchandises (en jours de CAMV*) = (Stocks de march. / CAMV*) x 365
- Stocks de matières premières (MP) en jours de consommations = (Stocks de MP / consommations) x 360
- Stocks de produits (en jours de prix de revient) = (Stocks de produits / prix de revient) x 360 (*)
(*) CAMV = Coût d'Achat des Marchandises Vendues
Spécificités des modes de stockage
Stockage d'information
Il s'agit de conserver pour réutilisation future les données informatiques constituées par l'information. Ce type de stockage particulièrement ancien a beaucoup progressé avec les avancées technologiques, depuis la création de l'écriture jusqu'à l'actuelle utilisation des systèmes informatiques et des mémoires de masse. Le stockage d'informations "la data", comprenant aussi les activités de sauvegarde et d'archivage des données, est au cœur de la problématique des entreprises. Des sociétés comme HP, IBM, Bull proposent des infrastructures donnant la possibilité de la haute disponibilité des données.
Stockage d'énergie
Stockage de matériaux
Pour le stockage de matériel, les installations sont principales. On peut distinguer le stockage sur convoyeurs, le stockage sans rayonnages, en bloc ou en rangées avec ou sans moyens de consolidation et le stockage sur rayonnages :
- stockage fixe
- stockage dynamique
Suivant les matériaux à stocker, on distingue : Le stockage de palettes ou de casiers, le stockage de produits longs, le stockage de plaques, le stockage d'outils, le stockage de petites pièces et le stockage de charges lourdes.
Stockage de produits longs
Le stockage de produits longs, barres, tubes ou profilés se fait généralement horizontalement. Pour cela, on y utilise plutôt des cassettes qui sont empilées ou stockées dans des rayonnages. Un stockage sans cassettes peut se faire pour tout matériel rigide.
Ce stockage fait appel à des berceaux, des rayonnages cantilever, des rayonnages à nid d'abeille ou des dispositifs de stockage automatique pour produits longs. Les dispositifs de stockage automatique pour produits longs sont de 2 types : rotatif ou translatif.
- le dispositif rotatif, ou carrousel, se compose de rayonnages fixés sur une chaîne qui met la totalité en rotation. Les temps d'accès sont assez courts, mais les contraintes d'équilibrage sont sensibles.
- le dispositif translatif, celui des tours de stockage, utilise un ascenseur pour le déplacement vertical, le déplacement vertical pouvant se faire par des bras articulés, des crémaillères ou des câbles. Les temps d'accès sont moyens mais le dispositif sert à stocker des matières pour plus de 200 tonnes sans contrainte importante d'équilibrage.
Stockage de plaques
Généralement, les tôles ou plaques sont stockées horizontalement. On peut distinguer le plus souvent le stockage de tôles ou de bois qui ont des dimensions de 2000x1000 mm à 6000x2000 mm et de 500 à 3000 kg par paquet. Les plaques sont stockées sur des rayonnages cantilever, des rayonnages à tiroirs ou des stockage à ruche (nid d'abeille). En version automatique, c'est un stockeur simple ou double dont les tiroirs seront chargés avec une table élévatrice. Dans certaines application, celle- ci peut glisser devant les rayonnages ou enter dans les travées.
Rayonnages à tiroirs pour plaques
Quant aux rayonnages à tiroirs, il s'agit des rayonnages spéciaux pour des dimensions jusqu'à 6000x2000mm et des charges jusqu'à 3 tonnes. Les tiroirs sont extraits manuellement. Le chargement se fait avec un pont ou d'un chariot élévateur. Chaque tôle peut être prélevée individuellement avec un palonnier à ventouse.
Notes et références
- Thierry Brutman Solutions Pratiques : Logistique & supply Chain, 2007
- Recherches RFID portant sur la réduction des ruptures d'inventaire chez Wal-Mart, Radio RFID
Voir aussi
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La version présentée ici à été extraite depuis cette source le 04/11/2010.
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